C'est la raison pour laquelle les propos tenus par le Professeur Montagnier dans la presse (voir ici) ont attiré mon attention: il est probable qu'un vaccin thérapeutique soit découvert dans les années à venir. Je ne sais pas vraiment ce que veut dire cette phrase et de quel genre de vaccin il pourrait s'agit, mais je constate que la recherche avance et c'est cela qui me réjouit.
Mais soyons clairs, le SIDA n'est que la dernière étape du processus, lorsque la maladie est déclarée. Avant cela, les personnes contaminées par le VIH sont déclarées séropositives. Et je n'ose même pas imaginer le calvaire: entre traitements et difficulté pour avoir une vie "normale" vis-à-vis de la société. Et en attendant la venue d'un hypothétique vaccin (je prédis un babyboom le jour où le vaccin sort sur le marché!), cet article souhaite rajouter un peu de prévention sur la toile.
J'ai toujours trouvé anormal que les besoins fondamentaux ne soient pas assurés pour tous: manger et dormir particulièrement. C'est la raison pour laquelle je revendique un toit pour chacun et de quoi manger. J'ai toujours trouvé aussi anormal que le risque face au SIDA n'était finalement par le même pour tous même si, je l'ai dit, la maladie touche toutes les catégories sociales. En effet, le préservatif n'est pas gratuit. Comme les Jeunes de l'UDB, je souhaiterai que les préservatifs le soient et que les lieux de distribution soient multipliés. Il est inadmissible de devoir payer pour s'envoyer en l'air!
Mais le préservatif n'est pas le seul "outil" face à la maladie. Il existe aussi des tests auxquels je me rends régulièrement. Car la maladie se propage généralement par négligence non par inconscience. Inutile de prendre des risques pour s'amuser, surtout lorsque ces risques mettent votre vie et celles des autres en danger. Avant d'arrêter le préservatif, pensez donc aux tests!